(...) avec les progrès de l'Histoire, on a pas manqué de s'apercevoir qu'en fait, au Moyen Age, les auteurs latins et même grecs étaient fort connus ; que l'apport du monde antique, classique ou non, était loin d'être alors rejeté ou méprisé. Sa connaissance était considéré comme un élément essentiel du savoir.
Régine Pernoud