Vous êtes comme des machines, vous obéissez bêtement, vous ne réfléchissez pas, vous avez peur de tout ce que vous ignorez !
Maxime Chattam
Citations liés
Tu vois, c'est marrant, on se donne toutes les bonnes raisons de s'interdire d'aimer, par peur de souffrir, d'être abandonné un jour. Et pourtant, qu'est ce qu'on aime la vie alors qu'on sait qu'elle vous quittera un jour.
Un dicton vietnamien dit: «Seuls ceux qui ont les cheveux long ont peur, car personne ne peut tirer les cheveux de celui qui en a pas.» Alors, j'essaie le plus possible de n'acquérir que des choses qui ne dépassent pas les limites de mon corps.
La vérité c'est que tu as peur de vivre et c'est pour surmonter cette peur que tu es partie assister les autres. [...] Quel étrange destin que d'ignorer ceux qui t'aiment pour aller donner de l'amour à ceux que tu ne connaîtras pas !
L'homme n'a pouvoir sur rien tant qu'il a peur de la mort. Et celui qui n'a pas peur de la mort possède tout. Si la souffrance n'existait pas, l'homme ne se connaîtrait pas de limites, il ne se connaîtrait pas lui-même.
Les vainqueurs sont ceux qui écrivent l'Histoire. C'est celle-là qui est rédigée dans nos livres d'école, pas la vraie Histoire telle qu'elle s'est déroulée, mais une Histoire qui caresse le camp des gagnants. L'Histoire a cessé, depuis longtemps d'être la somme des humanités ; aujourd'hui elle n'appartient qu'à une poignée d'individus.
Le miracle du luminol consiste à faire ressortir la présence de taches de sang, même après que celui-ci a été lavé, et il fonctionne parfaitement avec des traces anciennes. En fait plus le sang est vieux, plus la luminescence est forte.
Non, il n'aimait pas se battre, parce qu'il n'y avait là finalement aucun plaisir, aucune gloire. Les batailles n'étaient que le cimetière où naissaient les fantômes de demain.
Les vainqueurs sont ceux qui écrivent l'Histoire. C'est celle-là qui est rédigée dans nos livres d'école, pas la vraie Histoire telle qu'elle s'est déroulée, mais une Histoire qui caresse le camp des gagnants. L'Histoire a cessé, depuis longtemps d'être la somme des humanités ; aujourd'hui elle n'appartient qu'à une poignée d'individus.