Tous les hommes ont ...

Tous les hommes ont naturellement au cœur l'amour de la liberté et la haine de la servitude
 Jules César

Citations liés

Une personne qui porte de la haine en elle n’est pas libre ; elle est prisonnière de son propre chagrin et de sa propre colère.
Pour être heureux, il faut ignorer quatre choses au moins : la peur, l'orgueil, l'envie et la haine.
 Anonyme
Qui sème la haine récolte la violence, la vengeance, la mort…
 Jean-Christophe Grangé
La haine n'est-elle pas aussi douloureuse que l'amour ? Celui qui déteste son semblable s'enchaîne à sa rancune, se fait prisonnier de son ressentiment. Il n'est plus un être libre.
La haine est la seule maladie qui rend les gens heureux lorsqu'ils voient d'autres souffrir.
 Proverbe arabe

Citations du même auteur

Tous les hommes ont naturellement au cœur l'amour de la liberté et la haine de la servitude
 Jules César
De toutes [les] nations [gauloises], les Belges sont les plus vaillants, parce qu'ils restent complètement en dehors de la culture et de la civilisation de la province [romaine], que les marchands ne passent que très rarement dans leur pays, et n'y portent points les denrées qui amollissent les courages ; de plus ils touchent aux Germains, qui habitent au delà du Rhin, et ils leur font une guerre continuelle.
 Jules César
De toutes [les] nations [gauloises], les Belges sont les plus vaillants, parce qu'ils restent complètement en dehors de la culture et de la civilisation de la province [romaine], que les marchands ne passent que très rarement dans leur pays, et n'y portent points les denrées qui amollissent les courages ; de plus ils touchent aux Germains, qui habitent au delà du Rhin, et ils leur font une guerre continuelle.
 Jules César
De toutes [les] nations [gauloises], les Belges sont les plus vaillants, parce qu'ils restent complètement en dehors de la culture et de la civilisation de la province [romaine], que les marchands ne passent que très rarement dans leur pays, et n'y portent points les denrées qui amollissent les courages ; de plus ils touchent aux Germains, qui habitent au delà du Rhin, et ils leur font une guerre continuelle.
 Jules César