Si j'avais décidé de faire incendier Columbia, je l'aurais brûlé sans plus de remords que s'il s'était agi d'un village de chiens de prairie; mais je ne l'ai pas fait...
William Tecumseh Sherman
Citations liés
Les abrutis forment une grande famille, ils se reconnaissent sans avoir besoin de se renifler l'anus, contrairement aux chiens, qui ont au moins mis en place un protocole d'évaluation.
J'avoue, sans honte, que je suis malade et fatigué de combattre; la gloire n'est que balivernes ; même le plus brillant succès n'est fait que de corps mutilés ou morts, avec l'angoisse et les lamentations des familles, me réclamant leurs fils, maris et pères... il n'y a que ceux qui n'ont jamais entendu un coup de feu, jamais entendu le hurlement et les gémissements des hommes blessés et déchirés... qui vocifèrent pour plus de sang, plus de vengeance, plus de désolation.
J'avoue, sans honte, que je suis malade et fatigué de combattre; la gloire n'est que balivernes ; même le plus brillant succès n'est fait que de corps mutilés ou morts, avec l'angoisse et les lamentations des familles, me réclamant leurs fils, maris et pères... il n'y a que ceux qui n'ont jamais entendu un coup de feu, jamais entendu le hurlement et les gémissements des hommes blessés et déchirés... qui vocifèrent pour plus de sang, plus de vengeance, plus de désolation.
Vous les gens du Sud ne savez pas ce que vous faites. Ce pays va être couvert de sang et Dieu seul sait comment cela finira. C'est pure folie, un crime contre la civilisation ! Vous parlez si légèrement de la guerre; vous ne savez pas de quoi vous parlez. La guerre est une chose terrible !
J'avoue, sans honte, que je suis malade et fatigué de combattre; la gloire n'est que balivernes ; même le plus brillant succès n'est fait que de corps mutilés ou morts, avec l'angoisse et les lamentations des familles, me réclamant leurs fils, maris et pères... il n'y a que ceux qui n'ont jamais entendu un coup de feu, jamais entendu le hurlement et les gémissements des hommes blessés et déchirés... qui vocifèrent pour plus de sang, plus de vengeance, plus de désolation.
J'avoue, sans honte, que je suis malade et fatigué de combattre; la gloire n'est que balivernes ; même le plus brillant succès n'est fait que de corps mutilés ou morts, avec l'angoisse et les lamentations des familles, me réclamant leurs fils, maris et pères... il n'y a que ceux qui n'ont jamais entendu un coup de feu, jamais entendu le hurlement et les gémissements des hommes blessés et déchirés... qui vocifèrent pour plus de sang, plus de vengeance, plus de désolation.