Puis il y avait les jours de ...

Puis il y avait les jours de tempête, les jours où le ciel si pur se voilait de nuages sombres, où cette Méditerranée si azurée devenait couleur de cendre, où cette brise si douce se changeait en ouragan. Alors le vaste miroir du ciel se ridait, cette surface si calme commençait à bouillir comme au feu de quelque fournaise souterraine. La houle se faisait vague, les vagues se faisaient montagnes. La blonde et douce Amphitrite comme un géant révolté, semblait vouloir escalader le ciel, se tordant les bras dans les nuages, et hurlant de cette voix puissante qu'on n'oublie pas une fois qu'on l'a entendue.
 Alexandre Dumas

Citations liés

La montagne est un lieu de sérénité où vous pouvez réfléchir aux choses importantes de la vie.
 Alex Honnold
La vie, c'est comme les montagnes russes, [...] tu descends très vite, tu reste longtemps en bas et tu remontes avec peine.
 Jean-Michel Guenassia
La montagne est un lieu de sérénité, de paix et d'espoir.
 Anatoli Boukreev
L'escalade n'est pas seulement une activité physique. C'est une métaphore pour la vie.
 Reinhold Messner
L'amour d'un père est plus haut que la montagne. L'amour d'une mère est plus profond que l'océan.
 Anonyme

Citations du même auteur

La jeunesse est une fleur dont l'amour est le fruit... Heureux le vendangeur qui le cueille après l'avoir vu lentement mûrir.
 Alexandre Dumas
— Oui, je l'ai insulté ; mais je voulais me battre avec lui, et quand on veut se battre avec les gens il faut bien les insulter.
 Alexandre Dumas
Les choses qui paraissent obscures la veille sont parfois trop claires le lendemain; parfois ainsi, en un jour, tombent les plus cruelles calomnies.
 Alexandre Dumas
À tous les maux, il est deux remèdes : le temps et le silence.
 Alexandre Dumas
— Ah çà ! mon cher Olivier, lui dis-je, vous êtes donc un Saint-Georges pour parler comme cela d'avance. — Non, je tire même assez mal, mais j'ai le poignet solide, et, sur le terrain, un sang-froid de tous les diables ; d'ailleurs, cette fois-ci, j'ai affaire à un lâche.
 Alexandre Dumas