On s'enorgueillit à juste ...

On s'enorgueillit à juste titre des progrès de la modernité (fusées interplanétaires, bombes atomiques, gratte-ciel, voitures, ordinateurs), mais notre cerveau reste celui de nos ancêtres de la préhistoire.
 Nancy Huston

Citations liés

La tristesse, c'est un peu comme un rhume de cerveau - avec de la patience, ça passe. La dépression, c'est comme le cancer.
 Barbara Kingsolver
Sidération. Etat de sidération. Quand la douleur est telle que le cerveau renonce, pour un temps, à faire son boulot de transmetteur. Cette hébétude entre le drame et les hurlements.
 Anna Gavalda
Il semble qu'il existe dans le cerveau une zone tout à fait spécifique qu'on pourrait appeler la mémoire poétique et qui enregistre ce qui nous a charmés, ce qui nous a émus, ce qui donne à notre vie sa beauté.
Chaque souvenir, aussi lointain soit-il, a lieu "maintenant", au moment où il apparaît dans l'esprit. Plus on se souvient d'une chose, plus le cerveau a la possibilité d'affiner l'expérience originale, car un souvenir ne se visionne pas, il se recrée.
 David Mazzucchelli
Le bien le plus précieux est le cerveau isolé de l'homme.
 John Steinbeck

Citations du même auteur

Souvent, la fin de l'histoire n'est pas une fin, la boucle n'est pas bouclée [...] ; du coup le sens de l'histoire est à chercher non dans son dénouement mais dans son déroulement...tout comme le sens de la vie.
 Nancy Huston
Ce qu'il y a avec les grandes personnes, c'est qu'elles prennent toutes les décisions toutes seules et que les enfants n'y peuvent rien.
 Nancy Huston
Il est beau de voir un être se détendre et s'épanouir sous l'effet de l'intérêt que nous lui portons. Notre intérêt est comme du soleil : la fleur s'ouvre peu à peu et offre ses couleurs.
 Nancy Huston
La musique c'est la fuite chic. Encore mieux que le cinéma. D'abord, y'a rien à comprendre. Tu peux t'en aller rendre visite à tes châteaux en Espagne pendant ce temps-là et personne t'accusera de ne pas avoir suivi.
 Nancy Huston
Ce souvenirs étaient morts d'inanition. Un souvenir, il faut lui rendre visite de temps à autre. Il faut le nourrir, le sortir, l'aérer, le montrer, le raconter aux autres ou à soi-même. Sans quoi il dépérit.
 Nancy Huston