On devrait les secouer très ...

On devrait les secouer très fort, comme on secoue un oreiller, peut-être que leur cerveau embrouillé prendrait un meilleur pli !
 Anne Frank

Citations liés

La tristesse, c'est un peu comme un rhume de cerveau - avec de la patience, ça passe. La dépression, c'est comme le cancer.
 Barbara Kingsolver
Sidération. Etat de sidération. Quand la douleur est telle que le cerveau renonce, pour un temps, à faire son boulot de transmetteur. Cette hébétude entre le drame et les hurlements.
 Anna Gavalda
Il semble qu'il existe dans le cerveau une zone tout à fait spécifique qu'on pourrait appeler la mémoire poétique et qui enregistre ce qui nous a charmés, ce qui nous a émus, ce qui donne à notre vie sa beauté.
Chaque souvenir, aussi lointain soit-il, a lieu "maintenant", au moment où il apparaît dans l'esprit. Plus on se souvient d'une chose, plus le cerveau a la possibilité d'affiner l'expérience originale, car un souvenir ne se visionne pas, il se recrée.
 David Mazzucchelli
Le bien le plus précieux est le cerveau isolé de l'homme.
 John Steinbeck

Citations du même auteur

Je ne suis pas riche en argent ou en biens matériels, je ne suis pas jolie, pas intelligente, pas fine, mais je suis heureuse et je le resterai ! J'ai une nature heureuse, j'aime les gens, je ne suis pas méfiante et je veux les voir tous heureux avec moi.
 Anne Frank
Le chagrin est une partie de la vie. C'est ce qui rend la joie si précieuse.
 Anne Frank
Pour être tout à fait franche, je t'avouerai que je ne m'en fiche pas du tout, que je me donne un mal infini pour me changer, mais que je me bats toujours contre des armées plus fortes que moi.
 Anne Frank
Une voix intérieure me crie : " Je veux sortir, de l'air, je veux rire ! " Je n'y réponds même plus, je m'étends sur le divan et je m'endors pour raccourcir le temps, le silence et l'épouvantable angoisse, car je n'arrive pas à les tuer.
 Anne Frank
"Je ne cesse de chercher un moyen de devenir comme j'aimerais tant être et comme je pourrais être, si..personne d'autre ne vivait sur terre." (ce fut la dernière phrase écrite par Anne le mardi 1 août 1944: 3 jours avant l'arrestation)
 Anne Frank