Les sots, les ignorants, les gens malhonnêtes, vont prendre dans les livres des idées, de la raison, des sentiments nobles et élevés, comme une femme riche va chez un marchand d'étoffes s'assortir pour son argent.
Un mot qui avait blessé mon meilleur ami, un mot qui me faisait souffrir. Je n'avais pas encore compris que es mots avaient un tel pouvoir. Ceux qui affirmaient que les mots ne pouvaient pas faire mal se trompaient.
Il n'y avait besoin de rien de plus - une averse, un claquement de porte, un coup de couteau ou un coup de feu - et une personne pouvait disparaître et ne plus exister que dans le souvenir de ceux qui restaient. La vie était trop fragile.