Mes yeux tournent au centre d'une chambre noire où tout dort de ce même sommeil ultime et désemparé des objets dont les maîtres sont morts, ou partis soudain et pour toujours, sommeil obtus d'objet abandonné à sa propre pesanteur inanimée, sans la chaleur d'une main qui le caresse ou le polit.
Octavio Paz