Mes relations avec le cinéma ...

Mes relations avec le cinéma ? Tout sauf sexuelles. Quoique je me suis souvent fait baiser.
 Stephen King

Citations liés

L'amour est beau dans les livres, sur des images, au cinéma. L'amour, le vrai, celui qui compte, c'est celui de la vie quotidienne ; celui-là, on n'en parle jamais parce qu'il n'est pas facile à représenter
Le cinéma, c'est vraiment magique, ça ne se consomme pas n'importe comment.
 Jacques Dutronc
Le cinéma est le plus totalitaire des arts. Toute énergie, toute sensation se fait sucer jusqu'au crâne, érection cérébrale, le crâne bouffi de sang. Caligula souhaitait un cou unique pour tous ses sujets afin qu'il puisse décapiter un royaume d'un seul geste. Le cinéma est cet agent transformateur. Le corps n'existe que pour les yeux, il devient une tige sèche qui porte ces deux joyaux mous et insatiables.
 Jim Morrison
Quant à moi, je restai sur mon siège. Je ne voulais pas partir avant que Fiona n'ait quitté l'image. Il n'y avait aucune raison de sortir du cinéma, cette fois.
 Jonathan Coe
Le cinéma est une fenêtre ouverte sur le monde, un moyen de voir les choses d'une manière différente.
 Martin Scorsese

Citations du même auteur

Prends ce qu'on t'offre. S'il y a quelquefois du mou dans la corde elle a cependant toujours une extrémité. Et après ? Réjouis-toi de l'existence du mou et ne gaspille pas ton énergie à maudire l'extrémité. Un cœur reconnaissant sait qu'à la fin nous nous balançons tous.
 Stephen King
Un lino d'un vert pisseux recouvrait le sol du large couloir traversant le bloc E, et ce qu'on appelait dans les autres prisons la dernière ligne était chez nous, à Cold Mountain, surnommé la ligne verte.
 Stephen King
Le travail acharné bat le talent lorsque le talent ne travaille pas dur.
 Stephen King
Quand le diable invite, faut y aller avec une longue cuillère.
 Stephen King
Tu penses que je suis un monstre, et tu as peut-être raison. Mais les véritables monstres ne sont jamais totalement dépourvus de sentiments. Je crois qu'en fin de compte c'est ça, et non pas leur aspect, qui les rend si effrayants.
 Stephen King