Lumière sans rênes, ...

Lumière sans rênes, lumière cabrée, la première. Ecroulements de cristaux qui dévalent la montagne, temples de glace à rompre les tympans.
 Octavio Paz

Citations liés

La montagne est un lieu de sérénité où vous pouvez réfléchir aux choses importantes de la vie.
 Alex Honnold
La vie, c'est comme les montagnes russes, [...] tu descends très vite, tu reste longtemps en bas et tu remontes avec peine.
 Jean-Michel Guenassia
La montagne est un lieu de sérénité, de paix et d'espoir.
 Anatoli Boukreev
L'amour d'un père est plus haut que la montagne. L'amour d'une mère est plus profond que l'océan.
 Anonyme
L'escalade n'est pas seulement une activité physique. C'est une métaphore pour la vie.
 Reinhold Messner

Citations du même auteur

Enfermé entre quatre murs ( au nord, le cristal du non-savoir, paysage à inventer ; au sud, la mémoire sillonnée; à l'est, le miroir ; à l'ouest, la pierre et le chant du silence), j'écrivais des messages sans réponse, détruits à peine signés.
 Octavio Paz
Lire mon destin dans les lignes d'une feuille de figuier ! Je te promets des luttes et un grand combat solitaire contre un être sans corps. Je te promets une course de taureaux et une blessure et une ovation. Je te promets le chœur des amis, la chute du tyran et l'écroulement de l'horizon. Je te promets l'exil et le désert, la soif et la foudre qui coupe en deux le rocher: je te promets le jet d'eau.
 Octavio Paz
Animation Sur l'étagère entre un musicien Tang et une jarre de Oaxaca, incandescent et vivace avec des yeux de papier d'argent qui pétillent le petit crâne en sucre nous regarde aller et venir.
 Octavio Paz
Je suis fatiguée de ce jeu de patience inachevé. Heureuse la femelle du scorpion que ses petits dévorent. Heureux le serpent qui change de chemise. Heureuse l'eau qui se boit elle-même.
 Octavio Paz
A cette heure guerrière, à cette heure de sauve-qui-peut, les amants se penchent au balcon du vertige. Ils s'élèvent doucement, épi de bonheur qui se balance sur un champ calciné. Leur amour est un aimant auquel est suspendu le monde. Il règle les marées, il ouvre les écluses de la musique. Au pied de leur chaleur, la réalité brise sa coquille.
 Octavio Paz