Les monomaniaques de tout ...

Les monomaniaques de tout poil, les gens qui sont possédés par une seule idée m'ont toujours spécialement intrigué, car plus un esprit se limite, plus il touche par ailleurs à l'infini.
 Stefan Zweig

Citations liés

L'amour, c'est l'absolu, c'est l'infini ; la vie, c'est le relatif et le limité. De là tous les secrets et profonds déchirements de l'homme quand l'amour s'introduit dans la vie. Elle n'est pas assez grande pour le contenir.
C'est marrant, quand on est libre de faire tout ce qu'on veut, on finit par ne pas faire grand chose. Quand le choix est infini, il n'y a pas de choix possible.
 Jonathan Coe
Réserver son jugement implique un espoir infini.
 Francis Scott Fitzgerald
Le nombre infini de positions que peut prendre un corps de femme me donne le vertige.
 Georges Wolinski
Ce qui est en vous est infini occupe la demeure céleste, dont la porte est la brume matinale et dont les fenêtres sont les chants et les silences de la nuit.

Citations du même auteur

Les arguments auxquels on recourt dans la chaleur d'une discussion que le hasard soulève entre convives sont le plus souvent sans originalité, parce que, pour ainsi dire, ramassés hâtivement avec la main gauche.
 Stefan Zweig
Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche [...] dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.
 Stefan Zweig
Je passais devant toi en courant, tête baissée, comme quelqu'un qui va se jeter à l'eau, pour éviter le feu de ton regard.
 Stefan Zweig
Qui éprouve de vifs sentiments observe peu. Les gens heureux sont de mauvais psychologues. Seul l'individu inquiet aiguise ses sens au maximum. L'instinct du danger lui insuffle une perspicacité qui dépasse de loin celle qui lui est naturelle.
 Stefan Zweig
C'est une morte qui te raconte sa vie, sa vie qui a été à toi, de sa première à sa dernière heure de conscience. N'aie pas peur de mes paroles : une morte ne réclame plus rien ; elle ne réclame ni amour, ni compassion, ni consolation.
 Stefan Zweig