Les enfants, c'était bien ...

Les enfants, c'était bien quand on avait la trentaine bien entamée, un emprunt pour sa maison, un boulot stable et des économies à la banque. Les enfants, c'était pour ces gens sans envergure qui n'avaient rien d'autre pour remplir leur vie.
 Malorie Blackman

Citations liés

Le temps est plus précieux que l’argent car vous pouvez obtenir plus d’argent mais vous ne pouvez pas obtenir plus de temps.
 Jim Rohn
La richesse ne consiste pas seulement en ce que vous possédez; elle consiste aussi en ce que vous n’êtes pas obligés d’acheter.
L'essoufflement des vandales de cités ne doit pas nous endormir. A croiser ces bandes de branleurs primaires, on ne peut qu'exacerber son exécration pour ces humains de façade. Ces ineptes ont toujours tout à reprocher au système et rien à remettre en cause chez eux. Parodie d'existence qui sert les potentats de l'économie illicite. Et la collectivité paiera encore, quelques ajouts aux fonds perdus pour éviter une politique expéditive qui ne s'encombrerait pas de ces mollesses démocratiques.
 Loïc Decrauze
L’argent ne fait pas le bonheur, mais il rend la misère plus supportable.
 Benjamin Franklin
Le temps de la réflexion est une économie de temps.
 Publius Syrus

Citations du même auteur

Un mot qui avait blessé mon meilleur ami, un mot qui me faisait souffrir. Je n'avais pas encore compris que es mots avaient un tel pouvoir. Ceux qui affirmaient que les mots ne pouvaient pas faire mal se trompaient.
 Malorie Blackman
Et j'ai senti, autour de Maman et moi, les bras de Papa. Et dans mon cœur, Papa souriait.
 Malorie Blackman
Il n'y avait besoin de rien de plus - une averse, un claquement de porte, un coup de couteau ou un coup de feu - et une personne pouvait disparaître et ne plus exister que dans le souvenir de ceux qui restaient. La vie était trop fragile.
 Malorie Blackman
Il y a un proverbe qui dit : "Attention à ce que tu souhaites, tu pourrais l'obtenir".
 Malorie Blackman
Le regret est un sentiment sous-estimé qui peut vous dévorer autant que la colère et la jalousie.
 Malorie Blackman