Le paradoxe de la haine c'est d'être comme l'amour : une limite extrême des sentiments humains à partir de laquelle il n'y a plus de mots pour en décrire la force.
Jean-Michel Wyl
Citations liés
Une personne qui porte de la haine en elle n’est pas libre ; elle est prisonnière de son propre chagrin et de sa propre colère.
La haine n'est-elle pas aussi douloureuse que l'amour ? Celui qui déteste son semblable s'enchaîne à sa rancune, se fait prisonnier de son ressentiment. Il n'est plus un être libre.