Le fascisme n'a pas confiance dans le peuple [...]. Le fascisme, le vrai, veut la force du peuple et le bonheur du peuple, au moins cette sorte de bonheur qui lui permet d'avoir la force, il aime le peuple, mais il n'a pas confiance en lui, il l'aime en le protégeant, il refuse de le laisser faire, il ne sait pas ou cela mène de le laisser faire et il craint que cela ne mène la plupart du temps à quelque forme imprévue de la servitude.
Maurice Bardèche