Tout récit à énigme se résume à une entreprise de manipulation d'un lecteur par un écrivain.[..] L'auteur est toujours le complice du coupable.[...] Watson est la figure même du lecteur de roman policier : un naïf volontaire.
Ce qui frappe chez lui, c'est son enthousiasme. Il a commencé par me réclamer une dictée, parce que "c'est trop super l'ortograve" (c'est pas lui qui corrige !).