La haine n'est-elle pas aussi douloureuse que l'amour ? Celui qui déteste son semblable s'enchaîne à sa rancune, se fait prisonnier de son ressentiment. Il n'est plus un être libre.
Le prisonnier voit la liberté plus belle qu'elle n'est. Le malade se représente la santé comme une source de joies ineffables — ce qui n'est pas. Tout ce qui nous manque est le divin.