L'essoufflement des vandales de cités ne doit pas nous endormir. A croiser ces bandes de branleurs primaires, on ne peut qu'exacerber son exécration pour ces humains de façade. Ces ineptes ont toujours tout à reprocher au système et rien à remettre en cause chez eux. Parodie d'existence qui sert les potentats de l'économie illicite. Et la collectivité paiera encore, quelques ajouts aux fonds perdus pour éviter une politique expéditive qui ne s'encombrerait pas de ces mollesses démocratiques.
Le 11 septembre a révélé une face encore plus sombre de la mondialisation. Le terrorisme aussi franchit aisément les frontières. Ses racines sont complexes, mais le désespoir et le chômage massif qui règnent dans tant de pays du monde lui offrent un terreau fertile.
L'analyse macroéconomique comme branche spécifique de l'analyse économique date de la publication de la Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie de John Maynard Keynes en 1936... Mais la macroéconomie moderne, comme discipline qui s'attache à comprendre pourquoi l'économie connait des épisodes comme la Grande dépression et pourquoi l'emploi et la Production fluctuent au courps du temps, commence avec Keynes.
Un combat d'idée est en cours: les uns veulent réduire l'État à la portion congrue, les autres lui reconnaissent un rôle important, même s'il a des limites, pour corriger les insuffisances du marché — aussi faire progresser la justice sociale. Je me range parmi les seconds, et je ne me propose ici de prouver que les marchés, s'ils sont cœur de notre succès économique, ne fonctionnent pas toujours correctement tout seuls, qu'ils ne résolvent pas tous les problèmes et que l'État sera toujours pour eux un partenaire important.
Un combat d'idée est en cours: les uns veulent réduire l'État à la portion congrue, les autres lui reconnaissent un rôle important, même s'il a des limites, pour corriger les insuffisances du marché — aussi faire progresser la justice sociale. Je me range parmi les seconds, et je ne me propose ici de prouver que les marchés, s'ils sont cœur de notre succès économique, ne fonctionnent pas toujours correctement tout seuls, qu'ils ne résolvent pas tous les problèmes et que l'État sera toujours pour eux un partenaire important.
Un combat d'idée est en cours: les uns veulent réduire l'État à la portion congrue, les autres lui reconnaissent un rôle important, même s'il a des limites, pour corriger les insuffisances du marché — aussi faire progresser la justice sociale. Je me range parmi les seconds, et je ne me propose ici de prouver que les marchés, s'ils sont cœur de notre succès économique, ne fonctionnent pas toujours correctement tout seuls, qu'ils ne résolvent pas tous les problèmes et que l'État sera toujours pour eux un partenaire important.