La guerre et la maladie, ces deux infinis du cauchemar.
Louis-Ferdinand Céline
Citations liés
L'amour, c'est l'absolu, c'est l'infini ; la vie, c'est le relatif et le limité. De là tous les secrets et profonds déchirements de l'homme quand l'amour s'introduit dans la vie. Elle n'est pas assez grande pour le contenir.
C'est marrant, quand on est libre de faire tout ce qu'on veut, on finit par ne pas faire grand chose. Quand le choix est infini, il n'y a pas de choix possible.
Ce qui est en vous est infini occupe la demeure céleste, dont la porte est la brume matinale et dont les fenêtres sont les chants et les silences de la nuit.
Tu finiras sûrement par le trouver le truc qui leur fait si peur, à eux tous, à tous ces salauds là, autant qu'ils sont et qui doit être au bout de la nuit, et c'est pour ça qu'ils n'y vont pas, au bout de la nuit.
L'existence, ça vous tord et ça vous écrase la face. Les pauvres sont fadés. La misère est géante, elle se sert pour essuyer les ordures du monde de votre figure comme d'une toile à laver.
Là, très tranquille pour réfléchir... Jamais j'ai été si content qu'à cette époque au "Génitron"... Je faisais pas des projets d'avenir... Mais je trouvais le présent pas trop tarte...