La croyance erronée que le ...

La croyance erronée que le cerveau de l'enfant est une tabula rasa ou mieux, une cire molle, passive, indifférente à toute forme que l'adulte jugera bon de lui imposer.
 Jules Payot

Citations liés

La tristesse, c'est un peu comme un rhume de cerveau - avec de la patience, ça passe. La dépression, c'est comme le cancer.
 Barbara Kingsolver
Sidération. Etat de sidération. Quand la douleur est telle que le cerveau renonce, pour un temps, à faire son boulot de transmetteur. Cette hébétude entre le drame et les hurlements.
 Anna Gavalda
Il semble qu'il existe dans le cerveau une zone tout à fait spécifique qu'on pourrait appeler la mémoire poétique et qui enregistre ce qui nous a charmés, ce qui nous a émus, ce qui donne à notre vie sa beauté.
Chaque souvenir, aussi lointain soit-il, a lieu "maintenant", au moment où il apparaît dans l'esprit. Plus on se souvient d'une chose, plus le cerveau a la possibilité d'affiner l'expérience originale, car un souvenir ne se visionne pas, il se recrée.
 David Mazzucchelli
Le bien le plus précieux est le cerveau isolé de l'homme.
 John Steinbeck

Citations du même auteur

Quand on sait maintenir une idée dans la lumière de l'attention, tous les souvenirs qui sympathisent avec la conception maîtresse accourent du fond de la mémoire.
 Jules Payot
Quand on sait maintenir une idée dans la lumière de l'attention, tous les souvenirs qui sympathisent avec la conception maîtresse accourent du fond de la mémoire.
 Jules Payot
Le rôle du maître est analogue à celui du jardinier qui sait que la plante ne peut se développer que par elle-même mais qui l'entoure de toutes les circonstances favorables.
 Jules Payot
La version latine, comme culture de l'énergie mentale est irremplaçable. Quiconque n'a pas passé par ce rude exercice ne saura jamais écrire sa langue maternelle.
 Jules Payot
L'autorité est nécessaire, mais elle dégénère facilement en esprit de domination. Il faut éclairer, non régenter, aider les subordonnés à travailler avec joie et « ne jamais éteindre le tison qui fume encore ».
 Jules Payot