La charité du pauvre est de ...

La charité du pauvre est de ne pas haïr le riche.
 Léon Tolstoï

Citations liés

Décidément, le ciel n'a pas voulu mettre en moi l'âme d'une sœur de charité. Les malades m'attristent et m'irritent, les enfants m'agacent... Jolie petit nature ! Je mériterais, pour me punir, une trôlée de mioches à moucher, à ficeler, à peigner...
 Colette
Preuve admirable de la puissance de sa religion : il arrive à la charité sans passer par la générosité. Il a tort de me renvoyer sans cesse à l'angoisse du Christ. Il me semble que j'en ai un plus grand respect que lui, ne m'étant jamais cru autorisé à exposer le supplice de mon sauveur, deux fois par semaine, à la première page d'un journal de banquiers...
La médisance est l'ennemi le plus mortel de la charité.
 Louis Bourdaloue
Je me suis demandé souvent quelle pouvait être la différence entre la charité de tant de chrétiens et la méchanceté des démons.
 Léon Bloy
Ce qui demeure le plus difficile à pardonner, c'est la charité qu'on a reçue.
 José Artur

Citations du même auteur

L'homme n'a pouvoir sur rien tant qu'il a peur de la mort. Et celui qui n'a pas peur de la mort possède tout. Si la souffrance n'existait pas, l'homme ne se connaîtrait pas de limites, il ne se connaîtrait pas lui-même.
 Léon Tolstoï
Et la lumière, qui pour l'infortunée avait éclairé le livre de la vie, avec ses tourments, ses trahisons et ses douleurs, déchirant les ténèbres, brilla d'un éclat plus vif, vacilla et s'éteignit pour toujours.
 Léon Tolstoï
Nul ne se soucie de moi, songeait Rostov. Il n'y a personne pour me porter secours, personne pour me plaindre. Et dire qu'il y a quelque temps j'étais à la maison, plein de force et de joie, et que tout le monde m'aimait !
 Léon Tolstoï
Oui, tout est vanité, tout est mensonge en dehors de ce ciel sans limites. Il n'y a rien, absolument rien d'autre que cela... Peut-être même est-ce un leurre, peut-être n'y a-t-il rien, à part le silence, le repos.
 Léon Tolstoï
L’orgueil de son travail rend, non seulement la fourmi, mais l’homme cruel.
 Léon Tolstoï