Socrate à Simmias : Simmias, à parler exactement, aucune âme n'aura part au vice, si elle est une harmonie ; car il est hors de doute qu'une harmonie, si elle est pleinement ce qu'est une harmonie, n'aura jamais part à la dissonance.
Mes mots à moi sont liberté et harmonie. Ils guident mes pas et suffisent à mon bonheur. Ta soif de pouvoir et de reconnaissance n'est pas destinée à être étanchée. Elle ne peut qu'entraîner ton malheur et la perte de ceux qui te côtoieront.
Et il n'est rien de plus beau que l'instant qui précède le voyage, l'instant où l'horizon de demain vient nous rendre visite et nous dire ses promesses.
Il semble qu'il existe dans le cerveau une zone tout à fait spécifique qu'on pourrait appeler la mémoire poétique et qui enregistre ce qui nous a charmés, ce qui nous a émus, ce qui donne à notre vie sa beauté.
La possessivité de la nation à l'égard de ses artistes se manifeste comme un terrorisme du petit contexte qui réduit tout le sens d'une œuvre au rôle que celle-ci joue dans son propre pays.
Avant de disparaître totalement du monde, la beauté existera encore quelques instants, mais par erreur. La beauté par erreur, c'est le dernier stade de l'histoire de la beauté.