Je compare la vie d'un homme à la terrifiante beauté d'un bonzaï ou d'un vieux pin sur les récifs en bord de mer qui a pris les plis du vent avec le temps. On le juge beau à l'automne de sa vie, mais quel sacrifice a-t-il dû accepter pour pousser ainsi?
La liberté est un chiendent, cette plante qui développe sous terre des rhizomes que l'on dit aériens, dont ne vient à bout ni la roche la plus dure, ni les barbelés des ronces. A la première fissure, au premier rayon de soleil, elle refleurit.
Il y a une chose à laquelle il ne faut pas céder, dit elle, le regret ! Le regret, c'est marcher à reculons. Qu'on ait eu raison ou non, il faut toujours regarder devant