L'armée, les pieds-noirs, les musulmans, les élus, étaient unis par une certaine conception qu'ils avaient de la France. [...] C'était celà l'O. A. S., ni ultras, ni fascistes, ni hitlériens. Qu'étaient-ils donc, je vous en prie, pour le pouvoir ? Ils étaient un obstacle sur la route qui conduisait à l'indépendance de l'Algérie.
Jean-Louis Tixier-Vignancour