Je suis pour la neutralité ...

Je suis pour la neutralité intégrale, pour un monde multipolaire, avec une diversité de liens et d'équilibres, en veillant à avoir suffisamment de contacts avec la Russie, la Chine, l'Inde, l'Amérique du sud.
 Dominique Baettig

Citations liés

Parfois on dit : "On aurait presque pu..." Là, c'est la phrase triste des adultes qui n'ont gardé en équilibre sur la boîte de Pandore que la nostalgie.
 Philippe Delerm
Je resterai altruiste, mais en gardant à l'esprit que le premier cadeau à faire aux autres est mon équilibre.
 Laurent Gounelle
Nul être soucieux de son équilibre ne devrait dépasser un certain degré de lucidité et d'analyse.
L'équilibre entre le bien et le mal, et les choix que nous faisons entre les deux, sont probablement l'un des aspects les plus importants qui forgent notre personnalité et l'humanité
 Marilyn Manson
Les êtres humains sont très attachés à tout ce qu'ils croient. Ils ne cherchent pas la vérité, ils veulent seulement une certaine forme d'équilibre, et ils arrivent à se bâtir un monde à peu près cohérent sur la base de leur croyance.
 Laurent Gounelle

Citations du même auteur

Alors que jusqu'à présent, et sans succès, les assureurs s'étaient réservés un rôle de clé de voûte dans le système de contrôle des coûts et des prestations de la santé, ils ont eu l'idée géniale de confier ce rôle ingrat (restreindre, refuser, rationner, justifier, rappeller les coûts, vérifier l'économicité, autoriser l'accès au spécialiste) à une nouvelle espèce d'idéalistes, le médecin prêt à travailler en "réseau" et à assumer une redoutable responsabilité budgétaire. Et ils ont trouvé les politiciens qui ont conçu ce gadget de standardisation des soins rationnés appelé " managed care ".
 Dominique Baettig
Blocher est un brasseur d'hommes, capable de faire cohabiter des gens de l'économie, des libéraux, des conservateurs, des libertariens, de faire marcher tout ça ensemble en utilisant des stratégies de séduction, de marché, autour d'un produit: la suissitude.
 Dominique Baettig
Alors que jusqu'à présent, et sans succès, les assureurs s'étaient réservés un rôle de clé de voûte dans le système de contrôle des coûts et des prestations de la santé, ils ont eu l'idée géniale de confier ce rôle ingrat (restreindre, refuser, rationner, justifier, rappeller les coûts, vérifier l'économicité, autoriser l'accès au spécialiste) à une nouvelle espèce d'idéalistes, le médecin prêt à travailler en "réseau" et à assumer une redoutable responsabilité budgétaire. Et ils ont trouvé les politiciens qui ont conçu ce gadget de standardisation des soins rationnés appelé " managed care ".
 Dominique Baettig