J'aime les gens hardis, ...

J'aime les gens hardis, impertinents, insolents, audacieux. Mais les arrogants, les orgueilleux, les désinvoltes, les grossiers, je ne suis pas sûr.. Je pourrais les gifler avec volupté, leur briser les mâchoires, les projeter face contre terre.
 Katherine Pancol

Citations liés

Maintenant que je suis à la fin de ma vie, je laisse à ceux qui viendront après moi ce que j'ai appris en cheminant sur la terre. Qu'ils en fassent bon usage.
Nous devons être les gardiens de cette planète. Nous devons prendre des mesures pour améliorer l'environnement et laisser un monde meilleur à nos enfants.
La terre se couvre d'une nouvelle race d'hommes à la fois instruits et analphabètes,maîtrisant les ordinateurs et ne comprenant plus rien aux âmes,oubliant même ce qu'un tel mot a pu jadis désigner.
La quintessence de notre travail, c'est d'en venir à reconnaître l'existence de Dieu, d'en ressentir La présence, puis de constater, ce faisant, que la " terre entière est remplie de Sa gloire. "
 Yéhouda Ashlag
Suicide et meurtre sont ici deux faces d'un même ordre, celui d'une intelligence malheureuse qui préfère à la souffrance d'une condition limitée la noire exaltation où terre et ciel s'anéantissent.

Citations du même auteur

IL n'y a rien de pire que le silence..On imagine tout et tout devient menaçant. On n'a pas de prise,même un petit bout de réalité pour se mettre en colère. Je déteste le silence;
 Katherine Pancol
Tu sais qu'une maman, ça comprend tout, ça pardonne tout, ça aime ses enfants mêmes s'ils sont des assassins sanguinaires... Tu le sais, ça ?
 Katherine Pancol
Il coule dans le sang de mes veines, la violence de mon père, sa rudesse, sa volonté féroce, une certaine cruauté même dont je ne suis pas si fière... Mais je saurais m'en servir si vous me menacez.
 Katherine Pancol
L'amour sans sentiment, sans possession, c'est délicieux... On se donne sans s'enchaîner. L'âme et le cœur se reposent pendant que le corps s'agite...
 Katherine Pancol
Vouloir oublier quelqu'un, c'est y penser tout le temps.
 Katherine Pancol