J'aime les coquelicots à ...

J'aime les coquelicots à cause du nom qu'ils portent, co-que-li-cots. C'est gai et il y a même la dedans des rires d'enfants heureux.
 Romain Gary

Citations liés

La jeunesse est une fleur dont l'amour est le fruit... Heureux le vendangeur qui le cueille après l'avoir vu lentement mûrir.
 Alexandre Dumas
J'aurais dû avoir deux cœurs, le premier insensible, le second constamment amoureux, j'aurais confié ce dernier à celles pour qui il bat et avec l'autre j'aurais vécu heureux. Amin Maalouf
 Guillaume Musso
Appellerez-vous heureux celui qui fonde son bonheur sur ses enfants, sur ses amis, sur des choses fragiles et périssables? En un moment, toute sa félicité peut s'évanouir. Ne connaissez d'autre appui que vous-même et la divinité.
 Démophile
Dans tous les cas, mariez-vous. Si vous tombez sur une bonne épouse, vous serez heureux ; et si vous tombez sur une mauvaise, vous deviendrez philosophe, ce qui est excellent pour l'homme.
Eh bien moi, j'aime la pluie avant qu'elle tombe. Bien sur que ça n'existe pas. C'est bien pour ça que c'est ma préférée. Une chose n'a pas besoin d'exister pour rendre les gens heureux.
 Jonathan Coe

Citations du même auteur

J'ai été formé par un regard d'amour d'une femme. J'ai donc aimé les femmes. Pas trop, parce qu'on ne peut pas les aimer assez. C'est une affaire entendue : j'ai cherché la féminité toute ma vie. Et sans ça, il n'y a pas d'homme.
 Romain Gary
L'âge n'y fait rien. Le cœur ne vieillit jamais, et le vide, l'absence qui l'ont marqué, demeurent et ne font que grandir.
 Romain Gary
La vraie maison de l'amour est toujours une cachette. La fidélité n'était d'ailleurs pas pour moi un contrat d'exclusivité : elle était une notion de dévouement et de communion dans le même sens des valeurs.
 Romain Gary
Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres.
 Romain Gary
L'Islam appelle cela " les racines du ciel ", pour les Indiens du Mexique, c'est " l'arbre de vie ", qui les pousse les uns et les autres à tomber à genoux et à lever les yeux en se frappant la poitrine dans leur tourment. Un besoin de protection auquel les obstinés comme Morel cherchent à échapper par des pétitions, des comités de lutte et des syndicats de défense – ils essaient de s'arranger entre eux, de répondre eux-mêmes à leur besoin de justice, de liberté, d'amour – ces racines du ciel si profondément enfoncées dans leur poitrine...
 Romain Gary