Faire ses adieux. C'était le plus difficile : une fois dans un asile, on s'accoutume à la liberté que procure l'univers de la folie, et on finit par prendre de mauvaises habitudes.
Non, folie! Plus d'espérance! Le pourvoi, c'est une corde qui vous tient suspendu au-dessus de l'abîme, et qu'on entend craquer à chaque instant, jusqu'à ce qu'elle se casse. C'est comme si le couteau de la guillotine mettait six semaines à tomber.
Les deux épreuves les plus difficiles sur le chemin spirituel : la Patience d'attendre le bon moment et le Courage de n'être pas déçus par ce que vous trouvez.
La dignité d'un homme ne se mesure pas aux personnes qui sont autour de lui quand il est au sommet de la réussite, mais à sa capacité de ne pas oublier les mains qui se sont tendues quand il en avait le plus besoin.