Des platitudes élevées apparaissent souvent dans la bouche d'hommes d'affaires emportés par leur enthousiasme et personne ne prend la peine de les détromper.
Il y eut des instants où même dans le cœur du petit fonctionnaire le plus modeste et le plus loyal, les rumeurs fantastiques qui couraient sur l'O.C. faisaient monter l'enthousiasme aussi vite que montait la mousse au col de leur chope de bière.
Je détestais son arrogance, sa vanité, ses caprices. J'admirais sa conviction, son enthousiasme, son engagement. J'aimais sa fragilité, sa douceur, ses excès.
Ils m'étaient chers comme des souvenirs déjà reculés. C'est un peu bête de s'attacher si vite à des personnes qui n'ont en somme qu'un rôle passager dans votre existence. C'est l'histoire des émotions en commun.
Le suffrage universel est stupide. Il n'a ni yeux, ni oreilles, ni odorat, ni même toucher. Il n'a qu'un ventre, que des appétits, que des besoins immédiats et sommaires.