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Le communisme doit être l'idée directrice et visible de tout le mouvement.
Jean Jaurès
Et aussi, je vis le peu de valeur placé dans la vie humaine, le total manque de respect pour la dignité de l'humain, la trahison de la confiance, la terreur de la police secrète et la main sanglante de l'assassin, durant et après ces années où je professais le communisme.
Selon une opinion bien ancrée, les kolkhozes ont été inventés par les scélérats staliniens selon des considérations purement idéologiques. Pure ineptie ! L'idée n'est pas marxiste, elle n'a même rien avoir avec le marxisme classique. Loin d'être un fruit de la théorie, elle a surgi dans la vie pratique comme le produit d'un communisme bien réel, rien moins qu'imaginaire. L'idéologie ne fut qu'un moyen de justifier une évolution historique.
L'islamisme est venu remplacer le communisme comme ennemi. Pour les États-Unis, l'islamiste est le nouvel ennemi permettant de justifier son emprise sur l'Europe et sur une large partie du monde
Les racines du communisme existaient et existent, sous une forme ou une autre, dans les sociétés les plus diverses. Elles existaient également dans la Russie d'avant la révolution. Elles existent aujourd'hui dans les pays occidentaux. Sans elles, aucune société d'envergure et un tant soit peu développé n'est concevable. Elles représentent des phénomènes sociaux que je qualifierai de "phénomènes communautaires". Ceux-ci ne deviennent dominants et ne peuvent engendrer un type de société spécifique communiste - ou "socialisme réel" - que dans des conditions bien particulières.
Mais en Amérique en général ce fut l'été du marathon de la tartufferie : le spectre du terrorisme qui avait remplacé celui du communisme comme menace majeure pour la sécurité du pays, laissait place au spectre de la turlute.
L'antifascisme est devenu, pour le communisme, un label définitif et il lui a été facile, au nom de l'antifascisme, de faire taire les récalcitrants. [...] Furent ainsi prestement escamotés les épisodes gênants au regard des valeurs démocratiques, comme les pactes germano-soviétiques de 1939 ou le Massacre de Katyń.
Stéphane Courtois
Aucune des justifications avancées depuis 1917 en faveur du communisme réel n'a résisté à l'expérience ; aucun des objectifs qu'il se targuait d'atteindre n'a été atteint : ni la liberté, ni la prospérité, ni l'égalité, ni la paix. Si bien qu'il a disparu, sous le poids de ses propres vices plus que sous les coups de ses adversaires. Et pourtant, il n'a peut-être jamais été aussi farouchement protégé par autant de censeurs aussi dénués de scrupules que depuis son naufrage.
Nous avions réussi le prodige de ne jamais définir précisément ce qu'était le communisme. C'était un terme général sur lequel nous appuyions pour dénoncer tout comportement, toute attitude, toute pensée, toute intention déviants.
Le communisme a donc réintégré le rôle qu'il n'aurait jamais dû cesser d'avoir, qui est celui d'être une utopie mobilisatrice, nichée à l'intérieur de la démocratie. Le soviétisme est mort; peut-être même qu'il a été assassiné. Mais l'idéal communiste parait être soigneusement entretenu, réchauffé au sein de la démocratie libérale, lové dans ses institutions. C'est ainsi que fonctionne la spirale planétarienne: avec un système, d'un côté, et une opposition factice à ce système, de l'autre. Les deux forces sont absolument complémentaires et indispensables l'une à l'autre.
Le communisme naît de diverses façons. En Russie, il fut le résultat du krach consécutif à la Première Guerre mondiale, de la révolution et de la guerre civile. Il fut apporté dans les pays d'Europe de l'Est par l'armée soviétique, vainqueur de l'Allemagne nazie. Mais quelle que soit la diversité des voies historiques qu'il emprunte en tel ou tel recoin de la planète, le communisme a ceci de particulier qu'il naît pas de rien et n'est pas totalement étranger au pays où il s'installe.
Ils l'admettent eux-mêmes. Regardez " Tragedy and Hope " du Professeur Caroll Quigley, lui-même membre de ces groupes d'élites disant 'en en effet nous y travaillons, en effet nous collaborons avec le communisme, oui nous allons de l'avant vers une accommodation globale, oui nous travaillons pour un gouvernement mondial ma seule objection est que nous devons garder le secret'
Le communisme n'enlève à personne le pouvoir de s'approprier des produits sociaux; il n'ôte que le pouvoir d'asservir à l'aide de cette appropriation le travail d'autrui.
La gauche et la droite, ça a toujours marché ensemble, pas l'une contre l'autre. Ce n'est pas la droite, c'est le gauchisme qui a tué le communisme, et discrédité la gauche pendant 10 ans après Mai 68, par un long travail de sape.
Le problème du fascisme : comment faire des génies avec des idiots. Le problème du communisme : comment faire des idiots avec des génies.
Maurice G. Dantec
La loyauté est placée en premier parce que les chefs du Parti communiste demandent que la loyauté au Parti soit placé au-dessus et avant tout, et cela inclu la race, la parenté, la famille et les amis. Cela constitue une rédition complète à la volonté de la hiérarchie communiste. Une volonté de tout faire, d'aller partout et de dire tout ce qu'on vous dira de dire est une condition pour adhérer au communisme.