Un homme va au savoir comme il part pour la guerre. bien réveillé, avec de la peur, du respect, et une assurance absolue. Aller vers le savoir ou partir pour la guerre d'une autre façon est une erreur, et celui qui la commet vivra pour regretter ses pas.
Je ne suis pas suicidaire. J'ai peur de mourir, surtout de la manière de mourir. Cette peur est mon assurance-vie. Je ne cherche pas à connaître mes limites, car je jour où je les connaîtrai, je ne rentrerai pas pour en parler.
Regarde l'autre qui parle plus qu'il pense... Il séduit car il a le poster de Fela et l'autographe de Femi. Grâce à son assurance tout le monde bloque sur son récit, son débit sympa, son avis d'expert réduit... Réduit à ça est le Tiers-monde, la critique reste de bronze et les conneries abondent, se vendent surtout après le onze... L'Islam en best-seller inonde les lumineux plateaux des songes où l'audimat éponge conneries et mensonges... Dans cette saveur d'amour-haine, les livres prennent leur élan. Certains mots font peur, la peur fait l'argent.
La seule assurance qu'on puisse prendre contre l'avenir, c'est de croire à ce qu'on a de meilleur en soi, et à la puissance qui est au-delà. Alors je crois à la petite flamme qui brûle entre nous.
Il est souvent possible, à partir de certains faits, d'en construire une explication causale ad hoc, parfaitement cohérente avec ces faits. Le caractère arbitraire et subjectif de ces explications n'apparaît qu'à l'épreuve objective d'autres faits, qui mettent en évidence leur manque de généralité et surtout de pouvoir prédictif. Parfois malheureusement, des dogmatismes entachent l'activité scientifique, la détournant de sa vrai nature, qui est critique et autocritique : Ce sont les imperfections de la science d'aujourd'hui qui constituent sa vitalité en nous donnant l'assurance d'une évolution fructueuse.
Vous vous comportez comme un vieux : vous avancez à pas comptés, vous prenez des assurances, vous équilibrez vos risques... vous manquez singulièrement d'inexpérience
Nos flottements portent la marque de notre probité ; nos assurances, celle de notre imposture. La malhonnêteté d'un penseur se reconnaît à la somme d'idées précises qu'il avance.
L'œuvre d'un enfant ne manque jamais de nous provoquer, d'en appeler à nous, parce qu'elle est pénétrée et imprégnée de cette assurance quasi magique qui naît d'une approche directe et spontanée des objets.
Le scepticisme actif est celui qui s'efforce sans cesse de se vaincre lui-même et d'arriver par l'expérience bien réglée à une sorte de relative assurance.
A quoi sert la religion si elle n'est d'aucun secours quand viennent les calamités ?(...) Pourquoi voudriez-vous que Dieu eût épargné Weybridge ?... Il n'est pas agent d'assurances.
La volonté des deux candidats est d'avoir une économie puissante pour pouvoir disposer d'un social fort pour les Genevois restés sur le carreau, de faire un dogme absolu de la priorité d'emploi aux Genevois, de combattre la criminalité avec une tolérance zéro, de lutter contre les abus des primes d'assurance-maladie, de redonner dignité et respect à nos aînés, de redonner à chacun sa fierté d'habiter Genève et d'être Suisse.
Depuis plus de cent ans, les poètes sont descendus des sommets sur lesquels ils se croyaient. Ils sont allés dans les rues, ils ont insulté leurs maîtres, ils n'ont plus de dieux, ils osent embrasser la beauté et l'amour sur la bouche, ils ont appris les chants de révolte de la foule malheureuse et sans se rebuter, essaient de lui apprendre les leurs. Peu leur importent les sarcasmes et les rires, ils y sont habitués, mais ils ont maintenant l'assurance de parler pour tous.
Si je reconnais l'état de guerre, cela entraîne beaucoup d'implications en droit économique, dans le droit des gens et dans le droit des assurances. Ce tabou a ses raisons pratiques, parce que le droit des gens (le droit international) repose sur le refus de la violence, sur l'interdiction de la guerre (comme moyen de la politique). On ne veut pas s'entendre dire que l'on redonne à la guerre un statut légal ni que la guerre et la paix sont des concepts qui sont toujours en étroite corrélation.
Günter Maschke
[Un prince] périt pour avoir fait fond sur [les] paroles [des hommes] et n'avoir pas pris de meilleures assurances. Car pour ceux que l'on gagne à force de bienfaits et non par une vraie grandeur de courage, l'on mérite plutôt de les avoir pour amis qu'on ne les a ; et par conséquent, on ne saurait compter sur eux dans le besoin.