Chloé avait les lèvres ...

Chloé avait les lèvres rouges, les cheveux bruns l'air heureux et sa robe n'y était pour rien.
 Boris Vian

Citations liés

La jeunesse est une fleur dont l'amour est le fruit... Heureux le vendangeur qui le cueille après l'avoir vu lentement mûrir.
 Alexandre Dumas
J'aurais dû avoir deux cœurs, le premier insensible, le second constamment amoureux, j'aurais confié ce dernier à celles pour qui il bat et avec l'autre j'aurais vécu heureux. Amin Maalouf
 Guillaume Musso
Appellerez-vous heureux celui qui fonde son bonheur sur ses enfants, sur ses amis, sur des choses fragiles et périssables? En un moment, toute sa félicité peut s'évanouir. Ne connaissez d'autre appui que vous-même et la divinité.
 Démophile
Dans tous les cas, mariez-vous. Si vous tombez sur une bonne épouse, vous serez heureux ; et si vous tombez sur une mauvaise, vous deviendrez philosophe, ce qui est excellent pour l'homme.
Eh bien moi, j'aime la pluie avant qu'elle tombe. Bien sur que ça n'existe pas. C'est bien pour ça que c'est ma préférée. Une chose n'a pas besoin d'exister pour rendre les gens heureux.
 Jonathan Coe

Citations du même auteur

-Ma sœur a mal tourné, monsieur, dit Nicolas. Elle a fait des études de philosophie. Ce ne sont pas des choses dont on aime se vanter dans une famille fière de ses traditions...
 Boris Vian
je sentais le sang de la colère, mon bon sang noir, déferler dans mes veines et chanter à mes oreilles.
 Boris Vian
Colin s'arrêta. — Nicolas quoi ? dit Chick. — J'hésite à te le dire, ça va peut-être te couper l'appétit. — Va donc, dit Chick, il ne m'en reste presque plus. — Nicolas est entré à ce moment-là et lui a sectionné la tête avec une lame de rasoir. Ensuite, il a ouvert le robinet et tout le reste est venu. — C'est tout ? dit Chick. Redonne-moi du pâté. J'espère qu'elle a une nombreuse famille dans le tuyau.
 Boris Vian
Le travail, c’est la liberté. La liberté, c’est celle des autres. Le travail, c’est celui des autres.
 Boris Vian
Je n'insiste pas parce qu'elle a beau être inconsciente, je lui ferais bien des politesses. Mais à y réfléchir, ça ne vaut pas le coup. La vraie Flo m'attend dehors et elle a toute sa lucidité. Gaya dans l'état où elle est, autant faire ça avec une chaise. Et puis j'ai ma robe qui me gêne et j'aurais l'air idiot si on entrait. Et zut et zut, j'ai horreur des drogués, quels qu'ils soient, Gaya ou autres.
 Boris Vian