Ce soir-là, donc, je l'attendais pour l'éprouvante cérémonie du dîner. Il s'est assis dans ma bibliothèque, cherchant le fauteuil le moins inhospitalier à son corps souffrant, il a croisé ses grandes jambes et, de sa voix détimbrée, m'a dit : Donne-moi ta main...Écoute-moi... Je crois qu'il est temps d'en finir .
Françoise Giroud