Ce n'est pas parce qu'on est ...

Ce n'est pas parce qu'on est heureux qu'on chante, c'est parce qu'on chante qu'on est heureux.
 Eliette Abécassis

Citations liés

La jeunesse est une fleur dont l'amour est le fruit... Heureux le vendangeur qui le cueille après l'avoir vu lentement mûrir.
 Alexandre Dumas
J'aurais dû avoir deux cœurs, le premier insensible, le second constamment amoureux, j'aurais confié ce dernier à celles pour qui il bat et avec l'autre j'aurais vécu heureux. Amin Maalouf
 Guillaume Musso
Appellerez-vous heureux celui qui fonde son bonheur sur ses enfants, sur ses amis, sur des choses fragiles et périssables? En un moment, toute sa félicité peut s'évanouir. Ne connaissez d'autre appui que vous-même et la divinité.
 Démophile
Dans tous les cas, mariez-vous. Si vous tombez sur une bonne épouse, vous serez heureux ; et si vous tombez sur une mauvaise, vous deviendrez philosophe, ce qui est excellent pour l'homme.
Eh bien moi, j'aime la pluie avant qu'elle tombe. Bien sur que ça n'existe pas. C'est bien pour ça que c'est ma préférée. Une chose n'a pas besoin d'exister pour rendre les gens heureux.
 Jonathan Coe

Citations du même auteur

La condition féminine aujourd'hui n'est plus définie par la soumission et le problème du pouvoir, mais par le corset invisible que chaque femme porte en elle.
 Eliette Abécassis
L'amour au début est ardent et passionnel, schizophrène et maniaco-dépressif comme le bébé, puis il grandit et il devient mûr, solide, réfléchi, il se pose, il s'élève alors, mais nous ne le savons pas, nous disons tout simplement qu'il cesse.
 Eliette Abécassis
L'absence n'est rien d'autre qu'une présence obsédante.
 Eliette Abécassis
Mais où commence l'adultère ? Au premier regard ? Au premier baiser ? A la première caresse ? ne l'étais je pas déjà ? l'adultère commence au premier regard, en effet : celui que votre mari ne vous accorde plus
 Eliette Abécassis
Car la vraie liberté s'ignore. Elle semble aller de soi. On n'en prend conscience que lorsqu'on la perd ; et dès qu'on en prend conscience, c'est qu'on l'a perdue.
 Eliette Abécassis