Camille regardait dormir son ...

Camille regardait dormir son bébé. Enfin, elle avait quelqu'un tout à elle, quelqu'un qui lui ressemblerait, qui lui appartiendrait, qui réaliserait ses folies et ses ambitions. Pour qui maman serait le bout du monde, la Vierge de l'immensité.
 Katherine Pancol

Citations liés

— Je n'arrive vraiment pas à y croire..., continua-t-il sans m'écouter. Tu as grandi si vite. Bientôt, tu vas te marier et avoir un bébé...
 Sarah Dessen
Les vieillards c'est comme les bébés ça change très vite.
 Michel Audiard
Une mère est toujours persuadée que son bébé est le plus beau du monde. Elle en gardera toute sa vie la conviction inébranlable, dût-elle subir pour cela tous les démentis et toutes les déceptions.
 Dean Koontz
L'amour au début est ardent et passionnel, schizophrène et maniaco-dépressif comme le bébé, puis il grandit et il devient mûr, solide, réfléchi, il se pose, il s'élève alors, mais nous ne le savons pas, nous disons tout simplement qu'il cesse.
 Eliette Abécassis
La tête du nouveau-né dodelina dans un mouvement familier, sa peau arborant un rouge marbré, et, remuant les bras sans coordination, le bébé poussa son premier cri d'indignation ; l'indignation d'être vivant.
 Caragh M. O'Brien

Citations du même auteur

IL n'y a rien de pire que le silence..On imagine tout et tout devient menaçant. On n'a pas de prise,même un petit bout de réalité pour se mettre en colère. Je déteste le silence;
 Katherine Pancol
Tu sais qu'une maman, ça comprend tout, ça pardonne tout, ça aime ses enfants mêmes s'ils sont des assassins sanguinaires... Tu le sais, ça ?
 Katherine Pancol
Il coule dans le sang de mes veines, la violence de mon père, sa rudesse, sa volonté féroce, une certaine cruauté même dont je ne suis pas si fière... Mais je saurais m'en servir si vous me menacez.
 Katherine Pancol
Vouloir oublier quelqu'un, c'est y penser tout le temps.
 Katherine Pancol
L'amour sans sentiment, sans possession, c'est délicieux... On se donne sans s'enchaîner. L'âme et le cœur se reposent pendant que le corps s'agite...
 Katherine Pancol