L'essoufflement des vandales de cités ne doit pas nous endormir. A croiser ces bandes de branleurs primaires, on ne peut qu'exacerber son exécration pour ces humains de façade. Ces ineptes ont toujours tout à reprocher au système et rien à remettre en cause chez eux. Parodie d'existence qui sert les potentats de l'économie illicite. Et la collectivité paiera encore, quelques ajouts aux fonds perdus pour éviter une politique expéditive qui ne s'encombrerait pas de ces mollesses démocratiques.
Il ne faut pas asséner une vérité, il faut aller la rechercher dans son interlocuteur. Si on parle de l'autre, on arrivera à le convaincre. Par contre si on parle de soi, on sera hautain et arrogant.
Vous verrez, Sarko, en dépit des apparences, c'est Giscard. Comme lui, il entame par une forme d'ouverture. Comme lui, il va être pris à revers par la crise économique. Comme lui, il va affronter une impopularité grandissante. Comme lui, il va se perdre dans l'admiration de sa propre personne. Comme lui, il humilie les siens. Comme lui, il va perdre toutes les élections locales. Comme lui, il va chercher son salut en essayant de retrouver ses bases électorales de la droite dure. Comme lui, il va s'isoler. Comme lui, il sera donc battu.
Je vais vous confier mon secret, ce secret que j'ai gardé depuis longtemps mais que vous avez sans doute découvert : j'aime les gens, quand d'autres sont fascinés par l'argent.