(...) La volonté des Suisses de se battre est très forte et nous devons la mettre à peu près sur le même plan que celle des Finlandais. Un peuple qui produit de bons gymnastes a toujours eu de bons soldats. L'amour des Suisses pour leur patrie et on ne peut plus fort et, malgré le système de milice, leur formation de tireurs est meilleure que, par exemple, celle des soldats de l'ancienne armée fédérale autrichienne au bout de 18 mois de service
Franz Böhme