Si nous pouvions, ne ...

Si nous pouvions, ne serait-ce qu'une fois par jour, regarder clairement la douleur des autres, la petitesse de nos propres affaires prendrait la forme d'un tas de brindilles posé sur un banc de pierres grises dans un jardin d'automne.
 Philippe Labro

Citations liés

L'automne est une mutation, l'hiver une lutte, le printemps un épanouissement.
 Anonyme
L'adieu transfigura tout ; car la petite école perdit son existence le jour même et ses élèves se dispersèrent dans diverses directions. L'automne suivant, ils passèrent dans les écoles publiques, chacun, ou presque, dans une école différente.
 Peter Handke
Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon cœur D'une langueur Monotone.
 Paul Verlaine
Ecrire c'est traverser une saison qui n'est sur aucun calendrier. - Souliers d'automne
 Françoise Lefèvre

Citations du même auteur

Le désir c'est une énergie, et l'énergie c'est du désir.
 Philippe Labro
L'exercice de la pudeur ce mouvement du cœur qu'on juge parfois comme une faiblesse de caractère mais que j'enregistrais comme une force.
 Philippe Labro
Il ne faut jamais aller plus vite que sa vitesse.
 Philippe Labro
Sur toute expérience nouvelle, règne la permanence d'un danger.
 Philippe Labro
L'exercice de la pudeur ce mouvement du cœur qu'on juge parfois comme une faiblesse de caractère mais que j'enregistrais comme une force.
 Philippe Labro