Obélix : Il est formidable, ...

Obélix : Il est formidable, mon Idéfix, hein ?... Je lui ai appris à flairer les menhirs pour qu'il devienne un bon chien de chasse J'ai commencé par des menhirs parce que ça va moins vite que les lapins, par exemple.
 René Goscinny

Citations liés

Les abrutis forment une grande famille, ils se reconnaissent sans avoir besoin de se renifler l'anus, contrairement aux chiens, qui ont au moins mis en place un protocole d'évaluation.
 Frantz Delplanque
L'enfant partit avec l'ange et le chien suivit derrière. Cette phrase convient merveilleusement à François d'Assise.
Si les chiens chiaient des haches, ils se fendraient le cul.
 Anonyme
Chien qui aboie ne mord pas dit le proverbe. Moi je veux bien le croire, mais le chien, lui, est-ce qu'il sait ?
 Popeck
Aux qualités qu'on exige d'un chien, connaissez-vous beaucoup de maîtres qui soient dignes d'être adoptés?
 Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais

Citations du même auteur

Il ne faut pas trop s'inquiéter pour le semeur de zizanie. Détritus s'en tirera toujours, et, déjà sur la galère qui le ramène à Rome, il ne se sent pas seul... la médisance, la jalousie et la calomnie se sont embarquées avec lui !
 René Goscinny
ASTÉRIX : Plus les armées sont puissantes, plus la nourriture est mauvaise. Ça maintient les guerriers de mauvaise humeur. (Il goûte sa ration.) Je ne pensais pas que l'armée romaine était aussi puissante !
 René Goscinny
Ce parfum léger et subtil, fait de thym et d'amandier, de figuier et de châtaigner Et là encore ce souffle imperceptible de pin, cette touche d'armoise, ce soupçon de romarin et de lavande Mes amis ! Ce parfum C'EST LA CORSE !
 René Goscinny
C'est l'anniversaire de ma maman et j'ai decide de lui acheter un cadeau comme toutes les annees depuis l'annee derniere,parce qu'avant j'etais trop petit.
 René Goscinny
ASTÉRIX : Plus les armées sont puissantes, plus la nourriture est mauvaise. Ça maintient les guerriers de mauvaise humeur. (Il goûte sa ration.) Je ne pensais pas que l'armée romaine était aussi puissante !
 René Goscinny