Le Convent de 1904 émit, à l'unanimité, un voeu dans ce sens car, sachez-le, un voeu est, pour nos bons Maçons , — comme le signe de croix pour le chrétien, — une espèce d'invocation qui conjure tous les fléaux, abolit le passé ou hâte l'avènement des choses futures. Il suffit que le Conseil de l'Ordre le transmette pour que le cours de l'histoire soit changé. C'est vous dire dans quelle perpétuelle illusion vivent les adeptes du Grand-Orient.
Jean-Baptiste Bidegain