La haine rend non seulement ...

La haine rend non seulement aveugle et sourd mais incroyablement bête.
 Konrad Lorenz

Citations liés

Une personne qui porte de la haine en elle n’est pas libre ; elle est prisonnière de son propre chagrin et de sa propre colère.
Pour être heureux, il faut ignorer quatre choses au moins : la peur, l'orgueil, l'envie et la haine.
 Anonyme
Qui sème la haine récolte la violence, la vengeance, la mort…
 Jean-Christophe Grangé
La haine n'est-elle pas aussi douloureuse que l'amour ? Celui qui déteste son semblable s'enchaîne à sa rancune, se fait prisonnier de son ressentiment. Il n'est plus un être libre.
La haine est la seule maladie qui rend les gens heureux lorsqu'ils voient d'autres souffrir.
 Proverbe arabe

Citations du même auteur

Le principe de l'indifférence de la science face aux valeurs ne doit pas nous faire croire que l'évolution, le plus merveilleux enchaînement de processus explicable par des causes naturelles, ne serait pas capable de produire des valeurs nouvelles. La naissance d'une forme supérieure de vie à partir d'un ancêtre plus simple signifie pour nous un gain de valeur.
 Konrad Lorenz
L'absence complète d'obstacles est plus dangereuse que des obtacles insurmontables.
 Konrad Lorenz
On peut, à la rigueur, parvenir à la jouissance sans acquitter le prix d'un travail rude et pénible, mais non pas à la joie, cette "merveilleuse étincelle divine".
 Konrad Lorenz
Une chose est sûre : les luttes tribales ne remplissent point ces fonctions dans l'intérêt de l'espèce (...) la sélection décerne un prix aux plus grandes super-familles, car, du fait que les membres d'une famille s'assistent mutuellement contre les étrangers, un petit peuple est, au combat, toujours désavantagé par rapport à un grand (...) Ceux qui survivent s'agrandiront et deviendront de plus en plus sanguinaires, puisqu'il y a un prix de la sélection sur l'augmentation de l'agressivité haineuse. Finalement, toutes les petites tribus succomberont.
 Konrad Lorenz
Tout ce que l'homme vénère et révère par tradition, ne représente pas une valeur éthique absolue, mais n'est sacré que par rapport au cadre de référence de telle ou telle culture [...] Si les normes sociales et les coutumes ne développaient pas leur vie et leur pouvoir autonomes particuliers, si elles n'étaient pas haussées à la valeur de fins sacrées en soi, il n'y aurait pas de vie commune basée sur la confiance, pas de foi, pas de loi.
 Konrad Lorenz