Les sots, les ignorants, les gens malhonnêtes, vont prendre dans les livres des idées, de la raison, des sentiments nobles et élevés, comme une femme riche va chez un marchand d'étoffes s'assortir pour son argent.
Les souvenirs ne se dissipent jamais. Ils demeurent tous cachés sous la fine croûte de la conscience, y compris ceux que nous croyions à jamais perdus. Parfois un geste, une image suffisent à les ramener à la réalité