Il me vint à l'idée que le ...

Il me vint à l'idée que le véritable ennemi de ces gens-là n'était pas le pouvoir politique, mais le manque d'imagination.
 Haruki Murakami

Citations liés

Respecter une femme, c'est pouvoir envisager l'amitié avec elle ; ce qui n'exclut pas le jeu de la séduction, et même, dans certains cas, le désir et l'amour.
Je pense à toi tout le temps. Je pense à toi le matin, en marchant dans le froid. Je fais exprès de marcher lentement pour pouvoir penser à toi plus longtemps.
 Frédéric Beigbeder
Il en voulait à la vie de cette maladie sur laquelle il n'avait aucun pouvoir et qui lui gâchait le meilleur de son existence.
 Mano Solo
Le pouvoir rend fou et le pouvoir absolu rend absolument fou.
 Hubert Beuve-Méry

Citations du même auteur

Dans notre monde, nul n'est irremplaçable. Quelles que soient nos connaissances ou nos capacités, quelqu'un, quelque part, prendra notre place. Si notre planète était peuplée d'êtres irremplaçables, ce serait terriblement ennuyeux [...]
 Haruki Murakami
La vérité n'est pas forcément dans la réalité, et la réalité n'est peut-être pas la seule vérité.
 Haruki Murakami
Les souvenirs, c'est quelque chose qui vous réchauffe de l'intérieur. Et qui vous déchire violemment le cœur en même temps.
 Haruki Murakami
Quand vous sortirez de la tempête, vous ne serez pas la même personne que celle qui y est rentrée. C'est tout l'intérêt de la tempête.
 Haruki Murakami
La douleur est inévitable, mais le chagrin est facultatif.
 Haruki Murakami