Dans notre monde, nul n'est irremplaçable. Quelles que soient nos connaissances ou nos capacités, quelqu'un, quelque part, prendra notre place. Si notre planète était peuplée d'êtres irremplaçables, ce serait terriblement ennuyeux [...]
La solitude est une sorte de tare : elle a un subtil parfum de tristesse, quelque chose qui n'attire, ni n'intéresse personne, et on en a un peu honte.
La solitude est une sorte de tare : elle a un subtil parfum de tristesse, quelque chose qui n'attire, ni n'intéresse personne, et on en a un peu honte.