En fait, la mort ne lui ...

En fait, la mort ne lui importait guère, mais plutôt la vie : aussi bien, quand fut prononcée la sentence, n'éprouva-t-il aucun sentiment de frayeur, mais seulement de la nostalgie.
 Gabriel García Márquez

Citations liés

Ce n'est pas la nostalgie de l'amour qui nous pousse à tomber amoureux, mais la certitude de n'avoir rien à perdre en devenant ce que nous devenons ; c'est la perspective du néant devant nous.
La culpabilité est un sentiment irrationnel, le sentiment d'être responsable de tout le mal du monde. Le remords, lui exprime une nostalgie, le regret de ce qui aurait pu être et n'a pas été.
 Antonio Tabucchi
La nostalgie, c'est comme les coups de soleil : ça fait pas mal pendant, ça fait mal le soir.
 Pierre Desproges
On ne peut jamais tourner une page de sa vie sans que s'y accroche une certaine nostalgie.
 Eve Belisle
Mais l'enfance n'est ni nostalgie, ni terreur, ni paradis perdu, ni Toison d'Or, mais peut-être horizon, point de départ, coordonnées à partir desquelles les axes de ma vie pourront trouver leur sens.
 Georges Perec

Citations du même auteur

"Aux lignées condamnées à cent ans de solitude, il n'était pas donné sur terre une seconde chance" G.G Marquez
 Gabriel García Márquez
Il n'est plus grande gloire que de mourir d'amour.
 Gabriel García Márquez
Mais avant d'arriver au vers final, il avait déjà compris qu'il ne sortirait jamais de cette chambre, car il était dit que la cité des miroirs (ou des mirages) serait rasée par le vent et bannie de la mémoire des hommes à l'instant où Aureliano Babilonia achèverait de déchiffrer les parchemins, et que tout ce qui y était écrit demeurait depuis toujours et resterait à jamais irrépétible, car aux lignées condamnées à cent ans de solitude, il n'était pas donné sur terre de seconde chance.
 Gabriel García Márquez
Tout le monde veut vivre au sommet de la montagne, sans soupçonner que le vrai bonheur est dans la manière de gravir la pente.
 Gabriel García Márquez
Il était encore trop jeune pour savoir que la mémoire du cœur efface les mauvais souvenirs et embellit les bons, et que c'est grâce à cet artifice que l'on parvient à accepter le passé.
 Gabriel García Márquez