Les citations de montagne sont le reflet des expériences et des impressions intenses que nous éprouvons lorsque nous sommes dans les montagnes. Elles nous rappellent l'énergie, la beauté et le pouvoir de la nature, et nous encouragent à explorer de nouveaux horizons. Elles nous rappellent également qu'il y a toujours plus à apprendre et à découvrir dans les montagnes, et nous invitent à embrasser la joie et le défi de l'aventure. Voici quelques-unes des meilleures citations sur les montagnes pour vous inspirer.
Les montagnes toujours ont fait la guerre aux plaines.
Ah ! La volupté d'abattre du travail comme on abat des arbres, de s'attaquer à une montagne de papier comme on escalade le Mont Blanc pour donner, peu à peu, au bureau l'aspect du Sahara.
Comment expliquer que la connaissance avance si la pédagogie tourne en rond ? Beauté de la ligne droite, mystères des méandres. Fleuve de l'impermanence, montagne de l'accumulation.
Les citations sur la montagne sont souvent ponctuées d'une sagesse profonde et reflètent la grandeur et la beauté de ce paysage époustouflant. La montagne est un lieu de calme, de contemplation et de renouveau, et les citations qui en parlent reflètent cette sérénité et cette force intérieure. La montagne offre une vision de l'univers qui nous rappelle que les perspectives humaines sont relativement insignifiantes par rapport à la grandeur de la nature. Parfois, nous nous sentons dépassés et perdus par notre propre vie, mais nous pouvons nous rappeler que nous n'avons pas à craindre l'inconnu. La montagne nous rappelle que nous faisons partie d'un ordre naturel plus grand. Voici quelques-unes des citations les plus inspirantes sur la montagne qui nous donnent une vision plus large de la vie.
A la question : « Pourquoi racontez-vous cette histoire-là ?, Clint Eastwood balance la même réponse depuis toujours : « comme l'alpiniste à qui on demande pourquoi il va escalader cette montagne, je réponds : « Parce qu'elle est là.
La procession ne se dirigeait pas vers le monde civilisé, elle s'enfonçait davantage dans les profondeurs de la montagne. Sur les sommets, la neige arrivait jusqu'à elle, étincelant tout autour. Elle s'y enfonçait, comme aspirée par la blancheur.
Nous sentons la poésie comme nous sentons la présence d'une femme, ou comme nous sentons le voisinage d'une montagne ou d'une baie.
Jorge Luis Borges
Une rue est une rue, mais une montagne n'est pas seulement une montagne. Une montagne peut être aussi un volcan, la terre peut être aussi du feu, il faut être aveugle pour ne pas comprendre ces choses-là et dire mécaniquement : " Une rue est une rue ", comme un perroquet !
Ses compagnes l'appelèrent du haut des rochers. Ses compagnes l'appelèrent en pleurant. Elle leur tendit les bras des profondeurs de la montagne. Ses larmes coulèrent sur les fleurs sans parfum, Mais elle ne put répondre à ses compagnes, Car, déjà, elle avait oublié leur langage.
Nietzsche a instruit patiemment sa volonté de puissance par ses longues marches dans la montagne, par sa vie en plein vent sur les sommets. Sur les sommets, il a aimé : " L'âpre divinité de la roche sauvage ". La pensée dans le vent ; il a fait de la marche un combat. Mieux, la marche est son combat. C'est elle qui donne le rythme énergétique de Zarathoustra. Zarathoustra ne parle pas assis, il ne parle pas en se promenant, comme un péripatéticien. Il donne sa doctrine en marchant énergiquement. Il la jette aux quatre vents du ciel.
Le peu que je sais d'elle, de sa vie, répond à un schéma obscur évoquant une route de montagne dont la vue est obstruée par des lauriers. Personne n'a planté ces lauriers en question mais personne non plus n'a pensé à les couper.
En voyant la montagne de corps qui l'attendait, Mandelbrot comprit que le jour tel qu'il l'avait connu avait pris fin à jamais. Il avait pris fin, non seulement pour lui, mais aussi pour le monde.
Elliot Perlman
Malgré notre tenue sévère, voilà que tout est contre nous ; mais l'armée fait encore des prodiges de valeur. Pour lors se donnent des batailles de montagnes, peuples contre peuples, à Dresde, Lützen, Bautzen. Souvenez-vous de ça, vous autres, parce que c'est là que le Français a été si particulièrement héroïque, que dans ce temps-là, un bon grenadier ne durait pas plus de six mois.