La justice est un concept central dans de nombreuses sociétés, et les citoyens recherchent souvent la justice et l'équité.
Les citations sur la justice sont des moyens puissants pour encourager les gens à réfléchir sur leurs propres valeurs et à s'engager à vivre des vies plus justes et plus équitables.
La justice n'est pas seulement une question de droit, mais aussi une question de morale et de conscience. Qu'elles proviennent des écrits des philosophes, des sages ou des légendes, ces citations peuvent offrir un peu de réconfort et d'inspiration pour ceux qui sont à la recherche d'un monde plus juste.
La justice est souvent le masque du courroux.
Jean de Rotrou
Par de belles paroles, le Conseil fédéral tente de dissimuler qu'il a cédé à la pression étrangère. Il appelle "justice fiscale" l'abandon de la sphère privée du citoyen. Il est aujourd'hui question de la sphère privée des étrangers en Suisse. Demain, ce sera au tour des Suisses.
L'exploitation des imbéciles? Mais les imbéciles ont toujours été exploités, et c'est justice. Le jour où ils cesseront de l'être, ils triompheraient, et le monde serait perdu.
La justice est un concept important et complexe qui a été abordé de nombreuses façons à travers l'histoire.
Les citations ci-dessous offrent une variété de perspectives sur le thème de la justice et peuvent être utilisées pour inspirer et encourager une réflexion et une discussion plus approfondies.
Peuple de Panem, courage, bats-toi pour le triomphe de la justice !
Voilà comment [l'ethnologue Giuseppe Pitrè] définissait la Mafia en 1889: " Ce n'est ni une secte ni une association, elle n'a ni règlement ni statuts. Le mafioso n'est ni un voleur ni un bandit [...]. Mafia signifie conscience de son être propre, vision exagérée de sa force individuelle [...]. Le mafioso est un homme qui respecte les autres et aime être respecté. S'il est offensé, il ne fait pas appel à la Justice. "
Il n'y a et ne peut y avoir de stabilité politique sans justice sociale. Et quand les inégalités, les injustices ou les retards d'un société dépassent la mesure, il n'y a pas d'ordre établi, pour répressif qu'il soit, qui puisse résister au soulèvement de la vie. L'antagonisme Est-Ouest ne saurait expliquer la lutte pour l'émancipation des " damnés de la terre ", pas plus qu'il n'aide à les résoudre. Zapata et les siens n'ont pas attendu que Lénine soit au pouvoir à Moscou pour prendre eux-mêmes les armes contre l'insoutenable dictature de Porfirio Diaz.
Un combat d'idée est en cours: les uns veulent réduire l'État à la portion congrue, les autres lui reconnaissent un rôle important, même s'il a des limites, pour corriger les insuffisances du marché — aussi faire progresser la justice sociale. Je me range parmi les seconds, et je ne me propose ici de prouver que les marchés, s'ils sont cœur de notre succès économique, ne fonctionnent pas toujours correctement tout seuls, qu'ils ne résolvent pas tous les problèmes et que l'État sera toujours pour eux un partenaire important.
L'erreur est de parler de justice, qui est vertu ou discipline des volontés, à propos de ces arrangements qui sont supérieurs (ou inférieurs) à toute convention générale des hommes. Quand le portefaix de la chanson marseillaise se plaint de n'être pas né " des braies d'un négociant ou d'un baron ", sur qui va peser son reproche ? À qui peut aller son grief ? Dieu est trop haut, et la Nature indifférente.
Louis avait en effet appris sa liaison avec une des plus belles femmes de Paris, Madame Disommes, qui, en trompant ouvertement son vieux magistrat de mari, donnait raison au vieil adage populaire affirmant que la justice était aveugle.