Alors commençait la dure journée du militaire labeur, avec les rapports, les appels, les rappels, la purée de pois figée, la bière tiède, les quarts de pinard, les corvées, les temps morts, les exercices de style, les boîtes de conserves rouillées que des galoches expertes envoyaient valdinguer sur les pelouses pelées, les cigarettes, les mégots, les clopes.
Georges Perec