Annibal de Coconas est pendu par les pieds au deuxième chêne du champ (...) Sa Majesté résume : "Je n'aime que les farces dont je suis l'auteur et espère que cette histoire de 1er avril ne se répandra pas ni ne deviendra une habitude."
L'affaire des poisons tourne au cauchemar politique. Tout le monde à la cour administre à chacun dans le potage, le vin ou le parfum, de la poudre à faire éternuer une dernière fois.
Si votre épouse le permet puisque je suis cuisinière, je vous préparerai une soupe aux herbes. C'est ma spécialité, mon triomphe. Impossible de trouver un vivant qui en dise du mal.
Il faut avoir une marque de sang échauffé, le cerveau modelé d'une autre manière que le commun des hommes, pour oser, dans cette universelle ruée vers la servitude la plus rampante, élever la tête au dessus des dos courbés et accuser l'idole en face.