Pour pardonner, il faut se souvenir. Non pas enfouir la blessure, l'enterrer, mais au contraire la mettre au jour, dans la lumière. Une blessure cachée s'infecte et distille son poison. Il faut qu'elle soit regardée, écoutée, pour devenir source de vie.
- J'aime les gens qui ont de la haine. La haine est un sac à dos qui pèse très lourds. Un jour, ils pourrons le déposer et prendre un sac à dos plus léger qui s'appelle Espérance.